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24 septembre 2010 5 24 /09 /septembre /2010 20:26

Mon article sur les 10 ans de Folio SF.

 

DehorsChiens.jpgPour fêter les 10 ans de la collection Folio SF, gagnez un des 5 livres Dehors les chiens, les infidèles de Maïa Mazaurette (en librairie le 30 septembre) !

 

Question 1

Quand est né le terme Fantasy ?

Réponse : en 1949 (Magazine of Fantasy, USA)

 

Question 2

Comment dit-on Fantasy en français ?

Réponse : Fantasie (Journal Officiel du 23 décembre 2007, France)

 

Question 3

La Fantasy ne concerne-t-elle que la littérature ?

(Répondez par oui ou non et expliquez)

Réponse : Bien sûr que non ! Bandes dessinées incluant comics, mangas et illustrations, cinéma incluant animation et séries télévisées, jeux incluant jeux de société, jeux de figurines, jeux de cartes à collectionner, jeux vidéo et jeux de rôles, et même musique !

 

Laissez vos réponses en commentaire : les commentaires ne seront pas validés tant qu'il n'y aura pas 5 gagnants. Donc, les 5 premières personnes à donner les 3 bonnes réponses recevront un exemplaire de Dehors les chiens, les infidèles de Maïa Mazaurette !

 

Je contacterai les 5 gagnants qui devront m'envoyer par e-mail leurs coordonnées postales avant le 25 octobre afin que je les fournisse à Folio SF qui enverra les livres.

 

Un autre jeu-concours sur La culture se partage.

 

 

Edit du 12 octobre : ça y est, j'ai mes 5 gagnants !!!

Nanou, Craklou, Olya, Lelf, Alyssia : bravo à vous !

(Envoyez-moi vos adresses postales pour que je les donne à Folio SF qui vous fera parvenir le roman).

Une petite pensée pour les participants qui n'ont pas gagné : merci à vous d'avoir participé.

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 19:42

MoisImaginaireBabelio.jpgDu 15 septembre au 15 octobre 2010,


Babelio met en valeur les littératures de l'imaginaire :

SF, fantastique, fantasy, etc.

 

Plus d'infos sur le blog et sur le forum de Babelio.

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 00:04

VolonteDragon.jpgLa volonté du Dragon, de Lionel Davoust
Critic, 2010, 170 pages, ISBN 978-2-9534998-0-3

Si, dans les livres que j'ai lus cette dernière année, je ne devais en conseiller qu'un à ajouter dans votre bibliothèque à côté du Dormeur, ce serait sans aucun doute La volonté du Dragon de Lionel Davoust (auquel j'ajouterai tout de même Le souffle d'Aloes d'Alan Spade pour d'autres qualités).

Lionel Davoust est sans doute inconnu de la grande majorité. Personnellement, je ne l'ai découvert (pour l'instant) qu'à travers ce premier roman dont le sujet avait interpellé mon intérêt. Cependant, il est l'auteur de quelques nouvelles dont l'une fut finaliste aux dernières Utopiales et une autre (L'île close) lauréate du prix Imaginales 2009.
Un recueil de ces nouvelles vient d'ailleurs d'être publié chez Rivière Blanche sous le titre de L'importance de ton regard.

Mais revenons à cette Volonté du Dragon.

Nous plongeons au cœur d'un univers fantastique au sortir d'une époque médiévale. Le puissant Empire Asreth veut étendre sa domination sur le continent voisin dans le but altruiste de lui apporter la paix, la prospérité et l'équité sociale. Le seul point de débarquement possible de ses puissantes troupes est un petit royaume du nom de Qhmarr, réputé imprenable malgré une capacité militaire apparemment nulle.
Bref un Goliath contre un David sans fronde. Les dés sont visiblement jetés, même si le lecteur se dit dès le début que tout ne peut pas être aussi facile.

Et effectivement tout ne le sera pas comme va le découvrir le généralissime D'eolus Vasteth. Cet homme, sûr de la puissance de l'Empire qu'il sert et de la légitimité de la conquête envisagée, se retrouve face à un mur de refus en la personne du gouverneur Mherran, le bras droit un rien sarcastique et porte parole de son roi, le Qasul, un enfant au regard absent et ne proférant mots, détenteur du lien avec le lâh.
Pour la victoire, un étrange jeu va opposer Vasteth et la Qasul alors que dans le même temps la bataille fait rage sur les flots. Existe-t-il un lien entre les deux ? À vous de le découvrir.

Plusieurs choses m’ont séduit dans ce roman.

D'une part l'absence de notre prise de partie en temps que lecteur pour un camp ou pour un autre.
Je m'explique.
D'évidence, au début notre sympathie va à ce petit royaume, visiblement impuissant face à la formidable armée d'invasion demandant reddition. Une poignée d'hommes sur des petits bateaux de bois à peine armés face à des troupes d'élites potentiellement renforcées par des exosquelettes puissants, montées sur des navires de guerre en métal et armés de canons usant d'une énergie dévastatrice d'origine techno-magique.
Et pourtant peu à peu nous venons à douter.
L'Empire défend le libre arbitre, la mobilité sociale au mérite, l'intégration et l'égalité des peuples conquis avec sauvegarde de leurs traditions. En tout cas en théorie, dans les faits nous n'en savons rien, si ce n'est deux indices : Krell Mascious, un simple canonnier intégré à l'Empire semble s'être uniformisé à la masse, perdant toute spécificité culturelle et, second indice : la dernière décision que pourra prendre Vasteth (mais là je n'en dirai rien).
Le royaume Qhmarr vénère le lâh, une idéologie religieuse qui engendre la paix du royaume mais aussi de ses individus puisque, en acceptant le lâh et en le comprenant, chacun est à sa place et ne cherche donc pas à en changer (en théorie aussi ; nous n'avons pas de détails sur les pensées du peuple). Ainsi le riche et le puissant le sont légitimement et le pauvre ou le faible sont aussi à leur place et donc « tout est bien dans le meilleur des mondes possibles » (Candide de Voltaire).
Allez-y maintenant, choisissez un camp !

Autre point intéressant, c'est l'absence de héros au sens « héroïque » du terme sans peur et génialement doué. Non, ici il n'y a que des personnes ordinaires avec leurs propres croyances et espoirs qui font au mieux leur devoir, au pire ce qu'ils peuvent pour survivre dans cette guerre « inattendue » qui leur tombe dessus.
Que ce soit Vasteth, l'Amiral Urvayd, le capitaine Anthéar, Krell, Drenn Syaldon ou Jael Vlancas, ils ne sont que des humains avec leurs faiblesses, leurs peurs et leurs forces, car du désespoir et de l'inéluctable naissent quelques actes que l'on pourrait qualifier malgré tout d'héroïque.
L'Artech Jael m'a particulièrement séduit (si vous connaissez Fabian ; vous le comprendrez). Plus encore que les autres, il semble perdu au milieu de ce cauchemar naissant, poussé par les circonstances et non par une volonté immuable.

Chose étonnante, on pourrait se dire qu'un roman occupé pour les trois-quarts (ou peu s'en faut) par une bataille navale ne peut que lasser. Eh bien non, car Lionel Davoust fait très fort. Ce conflit évolue peu à peu et nous offre tout un panel de combats allant de la canonnade magique à l'abordage. Un florilège d'affrontements jamais identiques que l'on est incapable de lâcher.

De fait, le personnage central de cette histoire est la guerre dans toute son horreur et sa stupidité (je n'ouvrirai pas ici le débat sur « y-a-t-il des guerres utiles ? »).
Et pour le coup, sans excès gore (heureusement !), une fois de plus l'auteur nous fait ressentir toute l'abomination de la chose, l'effroi de cette mort qui frappe sans distinction, fauchant à tour de bras sans même que l'on ait eu le temps d'esquisser un geste ou un début de compréhension.
Nous sentons le désarroi des soldats pris dans la tourmente et nous avons la peur au ventre avec eux. Bien assis confortablement dans mon fauteuil, j'ai couru comme un fou avec Jael pour échapper au premier assaut, haletant autant (...) que lui.

Quant à la fin, aussi inattendue qu'improbable, elle couronne le tout.

Ajoutez à cela une écriture maîtrisée, un déroulé agréable et un style travaillé mais sans effets incongrus et vous avez un petit joyau.

Bref, vous l'aurez compris : pour moi, La volonté du Dragon est un incontournable dont je me suis régalé. Et j'espère que ce petit partage de mes sensations vous aura donné l'envie de le découvrir.

Notons si cela est encore utile, que ce roman en 2010 a été finaliste des prix Imaginales / Futuriales et Elbakin.

Cette chronique de lecture est originellement parue le 17 septembre dans Mes écrits, le Cycle de l'Éveil, blog sur lequel vous pouvez lire d'autres articles de Frédéric.

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20 septembre 2010 1 20 /09 /septembre /2010 14:26

FolioSF10ans.jpgFin août, Coralie de Folio SF m'a contactée par l'intermédiaire de Littératures de l'imaginaire sur les 5 continents pour m'annoncer les 10 ans de la collection SF de Folio.

 

Je viens de recevoir mon « kit SF » avec L'o10ssée, un recueil inédit de dix nouvelles – qui est en fait offert pour l'achat de deux livres de la collection – ainsi qu'un marque-pages, une invitation pour l'exposition Science et fiction à la Cité des Sciences et un gros paquet de bonbons en forme de soucoupes volantes.

 

Je remercie donc Coralie et Folio SF, et pour que vous puissiez participer vous aussi à cet anniversaire, je vais proposer deux jeux concours :

 

un SF sur La culture se partage pour faire gagner 5 exemplaires de Évadés de l'Enfer de Hal Duncan (à paraître le 28 octobre),

 

un Fantasy sur Littératures de l'imaginaire sur les 5 continents pour faire gagner 5 exemplaires de Dehors les chiens, les infidèles de Maïa Mazaurette (à paraître le 30 septembre).

 

[Article publié simultanément sur La culture se partage]

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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 12:14

PorteBleue.jpgLa porte bleue, d'André Brink
Actes Sud, 2007, 114 pages, ISBN 978-2-7427-6858-5
Genre : récit allégorique (?)

L'auteur
André Brink est né le 29 mai 1935 à Vrede (Afrique du Sud), dans une famille afrikaner descendant de colons boers. Son père était magistrat et sa mère institutrice.
D'expressions afrikaans et anglaise, il effectue la première partie de ses études supérieures (1953-1959) à l'université de Potchefstroom où il obtient une licence, deux maîtrises et un diplôme d'aptitude à l'enseignement.
Il poursuit ses études en littérature comparée à Paris (France / 1959-1961), à la Sorbonne, où il rencontre pour la première fois des étudiants noirs traités sur un pied d'égalité sociale avec les autres étudiants. Il prend alors conscience des effets néfastes de l'apartheid sur ses concitoyens noirs.
Il revient ensuite en Afrique du Sud, où il devient assistant, maître-assistant puis maître de conférences en littératures afrikaans et hollandaise, à l'université Rhodes à Grahamstown.
À l'occasion d'un second séjour en France, de 1967 à 1968, il durcit sa position contre la politique d'apartheid.
En 1975, il devient Docteur ès lettres de Rhodes University, puis en 1985 Docteur ès lettres (honoris causa) de l'Université du Witwatersrand à Johannesburg.
De 1980 - année où il obtient le prix Médicis étranger pour son roman Une saison blanche et sèche qui lui vaut une reconnaissance mondiale mais est censuré en Afrique du Sud - à 1990, il fut professeur d'anglais à Rhodes.
Depuis 1991, il est professeur d'anglais à l'Université du Cap.
(source : http://fr.wikipedia.org/wiki/André_Brink)

L'histoire
David se trouve devant la porte de son atelier. Alors qu'il s’apprête à entrer, cette porte bleue s'ouvre soudain sur le visage radieux d'une femme noire et de deux enfants métis. Effaré par cette inexplicable intrusion, David comprend dans l'instant que ces trois personnes font partie de sa vie. Mais il ne les connaît pas.
David est sud-africain, il est marié depuis très longtemps avec une femme blanche. Ils n'ont jamais eu d'enfant. Une porte jaune clôt l'entrée de leur appartement.
(source : 4e de couverture)

Mon avis
Ce livre m’a laissé perplexe...
Pourtant, le récit est court, bien écrit et facile à lire.
En fait, je n'ai pas du tout accroché à l'histoire qui m'a laissé une impression bizarre... Le terme n'est pas très littéraire mais je ne sais comment qualifier mon ressenti.
J'ai eu la sensation de lire le script d'un épisode de la 4e dimension certes sympathique mais sans rien de transcendant ni d'original... Et en même temps, j'avais le net sentiment de passer complètement à côté du sens profond du bouquin...
Comme une ombre que l'on aperçoit du coin de l'œil mais que l'on arrive pas à voir en face quelque soit la rapidité avec laquelle on tourne la tête, j'ai attendu tout au long des pages une révélation que je discernais sans jamais avoir réellement su la saisir.
Bref, je sors de cette lecture plutôt frustrée...
J'essaierai peut-être de le relire un jour, pour voir...

Alors, Cher Lecteur Improbable, si tu l'as lu, n'hésite pas à me dire ce que tu en as pensé... Et si tu ne l'as pas lu, ben c'est le moment... Comme ça, tu pourras me dire ce que tu en penses... ;D

À bientôt.

Cette chronique de lecture est originellement parue le 12 septembre dans Lucille a dit, blog sur lequel vous pouvez lire d'autres articles de LucilleAnne.

[Lien vers le nouveau blog de LucilleAnne]

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9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 22:57

Frederic.jpgBonjour à tous, me voilà ici pour une petite présentation afin de participer à ce défi.

Je me nomme Frédéric Gobillot, et j'ai 43 ans, marié et 2 charmantes filles.

Si mon métier choisi (véto) est une passion, j'en ai une autre : inventer des histoires, ce qui se concrétise désormais par l'écriture. Outre quelques nouvelles publiées, j'ai à mon actif une trilogie de Fantasy Urbaine Le Cycle de l'Éveil dont le premier tome Le Dormeur est sorti à compte d'auteur.

Accro à la lecture, aux comics et aux BD depuis le dernier millénaire, j'ai été aussi un pratiquant de la première heure de Jeux de Rôles (dont le vénérable ancêtre D&D), essentiellement côté Meneur de Jeu pour assouvir ma soif de création.

Si je ne dédaigne pas des romans contemporains sur des tranches de vie, ma préférence va tout de même à l'imaginaire, à la fantasy (ses diverses variations), à la SF (fan de Star Wars) en passant par l'anticipation et le fantastique. Bref avec ce défi, je suis dans mon élément.

Mes auteurs (mais j'en oublie) : Zelazny, Tolkien (bien sûr), Asimov, Herbert, Siverberg, Silhol (magnifique), Brasey, Bordage, Chaumette, Grimbert ou Borges ; mais aussi des méconnus (pour l'instant) : William, Davoust ou Spade.

Mon blog http://fredericgobillot.over-blog.fr/ parle, bien sûr, de mes écrits, mais aussi de ce que je lis, vois ou entends. N'hésitez pas à y faire un tour et à me laisser des commentaires.


Ma liste de livres (en cours de réflexion)
Amérique : L’épée de vérité (tome 8), de Terry Goodking (Héroïc Fantasy)
Europe : La volonté du dragon, de Lionel Davoust (Fantasy)

Pour le reste... à suivre.

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6 septembre 2010 1 06 /09 /septembre /2010 00:04

Après les numéros spécial Jeunesse de mars et spécial Polar de juin, voici Livraddict Le Mag n° 3 spécial Fantasy.

 

70 pages tout en couleur sur un beau papier parcheminé pour tout savoir sur la Fantasy !

 

Bravo à Baba, El JC, Fée Bourbonnaise, Thalia, Emeralda, Mallou, Heclea, Jess, Nathalie, Sita, Lelf, Folfaerie, Renan, Waylander, Snow, Nymi et MaxoO pour cet excellent numéro.

 

Vous pouvez le lire en ligne ou le télécharger librement sur Livraddict et le partager (voir ci-dessous).

 

Le prochain numéro sera consacré aux auteurs français contemporains avec un hommage à Pierre Bottero.

 

 

Article également publié sur La culture se partage.
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3 septembre 2010 5 03 /09 /septembre /2010 13:21

ProphetieLur1.jpgLa prophétie du royaume de Lur, de Karen Miller
Fleuve noir, collection Fantasy
Tome 1 : Le mage du prince, octobre 2008, 545 pages
Tome 2 : Le retour du sorcier, mars 2009, 593 pages

Quatrième de couverture
Au royaume de Lur, une immense barrière magique protège les habitants des ravages du sorcier Morg depuis six cents ans. Les Doranens gouvernent le royaume grâce à la magie, tandis que les Olkens ont interdiction de l'utiliser... sous peine de mort. Le jeune Asher a quitté sa famille de pêcheurs pour faire fortune à Dorana, la capitale. Très vite, il devient l'assistant du prince Gar et apprend la vie de château. Ses origines modestes et sa gouaille lui valent l'inimitié de bon nombre de nobles à la cour. Heureusement dans l'ombre, ses amis veillent sur lui. Ils font partie d'une confrérie secrète qui attend l'avènement d'un mage innocent qui sauvera Lur des Derniers Jours. Mais Asher a déjà bien du mal à éviter les pièges que lui tend, jour après jour, l'entourage de la famille royale...

Biographie de l'auteur
Karen Miller est née au Canada mais vit à Sydney, en Australie, depuis son enfance. Diplômée en littérature, elle a exercé toutes sortes de métiers avant d'ouvrir sa propre librairie spécialisée en polar, fantasy et science-fiction. Quand elle n'écrit pas, elle gère une troupe de théâtre dans laquelle elle joue et met en scène. Elle est également journaliste pour diverses publications spécialisées en équitation. Le Mage du Prince, son premier roman, a été propulsé en tête des ventes aux Etat-Unis et en Angleterre dès sa sortie.

ProphetieLur2.jpgMon avis
Je fais un seul billet pour les deux tomes, je n'ai pas envie de perdre mon temps pour ces deux livres que je n'ai pas appréciés du tout !
Le premier tome était moyen mais bon, je me suis dis que l'auteur mettait les choses en places, seules les 100 dernières pages sont un peu captivantes ! Pour le reste, c'est le train train quotidien d'un prince, d'un pêcheur devenu son assistant et de la cour.
J'avais un minimum d'espoir qu'avec le tome 2, je serais plongée au plus profond de la fantasy avec des personnages et un monde extraordinaire de noirceur, bref je pensais qu'il se passerait plein de choses et que le livre se déroulerait derrière le mur... Hélas, non !!!! Nous restons au même endroit avec les mêmes personnages alors qu'il y a tout un monde horrible à explorer derrière le mur, alors que cela aurait été tellement génial si l'auteur nous avait dit dès le début ce qui c'était passé avant le mur.
La manière dont cette histoire a été racontée m'a fortement déplu, je n'ai pas aimé du tout, je me suis profondément ennuyée.

Cette chronique de lecture est originellement parue le 27 août dans Le boudoir des livres, blog sur lequel vous pouvez lire d'autres articles de Sylvie.

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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 18:56

Voici le dix-septième bilan de ce blog et du défi.

Le blog
114 articles (dont 5 en août) ; 20 participants (15 filles et 5 gars) ; 20 liens
7 articles pour l'Afrique, 16 pour l'Amérique, 13 pour l'Asie (dont un divisé en 6 articles), 20 pour l'Europe (dont un hors-défi) et 15 pour l'Océanie (dont un divisé en 3 articles)
11 pages
282 visiteurs ont vu 543 pages et ont posté 12 commentaires ; 4 inscrits à la newsletter

Provenances des visiteurs : 43 % provenance directe, 2 % communauté plateforme, 8 % provenance externe, 47 % moteurs de recherche - Algérie, Allemagne, Angleterre, Arabie Saoudite, Argentine, Australie, Autriche, Belgique, Bénin, Bolivie, Botswana, Brésil, Bulgarie, Botswana, Burkina Faso, Cameroun, Canada, Chili, Chine, Colombie, Congo/Kinshasa, Corée du Sud, Côte d'Ivoire, Croatie, Cuba, Danemark, Djibouti, Égypte, Espagne, États-Unis, Finlande, France (dont Guadeloupe, Guyane Française, Martinique, Nouvelle-Calédonie, Polynésie française, Réunion), Grèce, Haïti, Honduras, Hong Kong, Hongrie, Irlande, Israël, Italie, Japon, Liban, Luxembourg, Macédoine, Maroc, Maurice (île), Mauritanie, Moldavie, Monaco, Niger, Nigéria, Nouvelle-Zélande, Pakistan, Pays-Bas, Pérou, Pologne, Porto Rico, Portugal, Roumanie, Russie, Sénégal, Serbie, Singapour, Slovaquie, Suède, Suisse, Tchèque (République), Thaïlande, Tunisie, Turquie, Ukraine, Uruguay...

Le blogrank
Au plus bas, entre 3 et 16...


Bonne continuation du défi et bonne rentrée à tous !

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25 août 2010 3 25 /08 /août /2010 13:00

BNLancesMiciles.jpgBlanche-Neige et les lances-missiles, de Catherine Dufour
Le livre de Poche, collection Orbit, 2009, 598 pages, ISBN 978-2-253-12540-2

Catherine Dufour est née en 1966. Elle a commencé à écrire des poèmes à l'âge de sept ans. Cinq ans plus tard, elle apprend que les poètes finissent tous trafiquants d'armes : elle jette ses poèmes et commence à écrire des nouvelles. Vingt ans et quelques prix plus tard, elle découvre Terry Pratchett, et décide de tout recommencer à zéro. Ainsi naîtra son cycle Quand les dieux buvaient (prix Merlin), qui l'a imposée, avec son roman de science fiction Le goût de l'immortalité (prix Bob Morane, Rosny aîné, prix du Lundi et Grand prix de l'Imaginaire), comme figure centrale de l'imaginaire actuel français.

Synopsis
« Tous les contes commencent par « Il était une fois » et finissent par « Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants ». Oui mais... et après ? Et si le règne de Blanche-Neige avait été une horrible dictature ? Et si le miroir magique était devenu gâteux ? Et si Peau d'Âne était tombée amoureuse du prince de Cendrillon ? Une poignée de fées du Bois de Boulogne, une bande de spectres, le Père Noël et sa fille, l'Ankou et sa faux, le Petit Chaperon rouge et l'affreux démon Bille-Guette suffiront-ils à sauver le monde du chaos ? »

Mon avis
Alors, avant de commencer à dire ce que j'ai pensé de ce livre, je remercie Nanet de me l'avoir envoyé dans le cadre du swap de Livraddict (3e édition). C'était vraiment un très bon choix de livre ! J'ai vraiment aimé ^^.
Ensuite, ce livre est le premier tome (qui regroupe deux livres) de la saga Quand les dieux buvaient. Le premier livre et le second sont assez différents mais se suivent malgré les différentes 'époques'.
Et enfin ce livre est mon premier livre pour le défi Littérature de l'imaginaire sur les 5 continents qui se balade sur la blogosphère depuis un moment.
D'ailleurs voilà ce que j'en pense.

J'ai aimé/adoré
- Redécouvrir mes personnages de contes de fées (pire que classiques) dans des situations plus que burlesques du genre, Blanche-Neige dictatrice (euh pardon Impératrice), le Petit Chaperon rouge (que l'on trouve tous un peu niaise en y repensant) en gamine à qui on a envie de dire sans arrêt... Ta gueule !
- Découvrir un monde rempli de Gragons, de magie (ou de force Étherée), de marraines les (bonnes) fées, de non-vivants et j'en passe et des meilleurs.
- Lire des jeux de mots, des gags à quasi toutes les pages.
- Découvrir le pourquoi du comment le Paradis et l'Enfer fonctionnent un peu mal ^^
- Découvrir ce que sont devenus les non-vivants (on ne dit pas morts !) après un certain cataclysme et dans notre époque (c'est impressionnant, je ne verrai plus jamais certaines choses pareil :o).
- Découvrir que les fées, les elfes, les faunes et toute la clique des êtres 'magiques' pourraient ne pas être ce qu'on pense d'eux (hé oui messieurs, dames, révélations !! et puis d'abord c'est vrai quoi, on ne sait pas tout sur eux ^^).
- Les cochoncetés et les alcooliques (il y en a plein dans les deux parties mais c'est tellement bien écrit qu'on en rit, surtout quand on y reconnaît des personnages 'célèbres').
- Les quelques explications de madame Dufour à la fin du livre sur sa façon dont les idées de certains personnages lui sont venues.
- Sourire et éclater de rire toute seule devant mon livre en lisant certains passages (et tant pis pour les gens qui m'ont pris pour une folle).

Je n'ai pas aimé/J'ai moins apprécié (pas grand chose à mon avis)
- La lenteur à laquelle j'ai lu : oui pour comprendre les gags, on ne peut pas s'enfiler ce livre comme un simple conte de fée, il faut prendre son temps ; exemple : « Calmebloc Icibachudun Désastrobscur » ou encore « Judamacabé » (rien que pour ces deux-là j'ai relu plusieurs fois ^^).
- Les interruptions de l'histoire : dans la première partie, on passe de l'histoire 'primaire' à une 'secondaire' et on ne comprend pas l'intérêt tout de suite ; dans la seconde partie, il y en a aussi mais ça passe mieux car ce ne sont pas sur des chapitres entiers mais sur quelques lignes ou quelques pages.

Je regrette
- Encore une fois la lenteur de la lecture.
- Comme souvent dans les sagas, de ne pas posséder la suite.

En conclusion, une bonne grosse marade où il faut s'accrocher à son fauteuil/lit/divan/bain/autre [rayer la mention inutile] et qui ne plaira pas à tout le monde, car même si j'ai beaucoup apprécié, il faut vraiment s'accrocher ce qui pourrait déplaire à d'autres.

Cependant, si vous vous ennuyez et que vous voulez retrouver Blanche-Neige, Cendrillon, Peau d'Âne, la Belle au Bois Dormant, le Père Noël, le Petit Chaperon rouge, des Elfes, des Fantômes, des Gragons (oui pas des Dragons, ça c'est démodé) et compagnie en train de faire des choses auxquelles vous n'auriez jamais pensé, plongez dans cet univers burlesque à souhait.

Cette chronique de lecture est originellement parue le 21 août dans Bulle de livre, blog sur lequel vous pouvez lire d'autres articles de Snow.

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  • : Ce blog consacré au défi 'Littératures de l'imaginaire sur les 5 continents', regroupe les notes de lecture des participants qui veulent partager leur amour des littératures de l'imaginaire (SF, anticipation, fantastique, fantasy, conte...).
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